S´ACUEILLIR ET SE DONNER: CONFIANCE ET AMOUR
Enrique Martínez LozanoMc 14,12-16.22-26
Dans une ocassion, un petit commercant rêve qu´un pèlerin arriverai au petit village et il lui donnerai un diamante qui le ferai riche pour toujours.
Effectivement, bientôt on parla, dans le petit village, de l´arrivée d´un pelerin que s´avait établi dans une grotte à la banlieue. Le commercant fut à le chercher et lui demanda la pierre qu´il avait. Le pèlerin prend de sa poche la pierre et lui dit: "sûrement, c´est cette pierre", au même temps qu´il se la donna au villageois. "Je la trouvai dans le sentier du bois il fait quelques jours.Certainement, tu peux la garder".
L´homme reste en regardant la pierre avec stupéfaction. ¡Elle était un diamant, le plus grand qu´íl avait vu jamais, presque si grand que la main d´un homme!. Il lui prend voracement parmi ses mains et il se fut en courant; mais il ne peut pas dormir!. Demain matin, il fut voir au pèlerin et il lui dit: "Donne – moi la richèsse qu´elle fait te libérer si facile de ce diamant".
(A. de Mello, "le chant d´oiseau", SAL TERRAE, pàges 182-183).
J´ai voulu commencer avec cette histoire de Tony de Mello parce que je crois qu´elle exprime très bien l´attitude de Jèsus: non seulement il donna le "diamant" de sa vie, même il le fait avec liberté et aussi avec l´amour gratuit.
La connue "Dernière Cène", nous donna le cadeau de la lecture que Jèsus lui-même fait de sa vie et le sens qu´il donna à sa mort.
Lecture et sens qu´ils peuvent se résumer dans une seule mot: Dans les évangiles synoptiques, la mot est "prenez", dans Jean "dévouement".Mais, les deux sont la même attitude.
Tout de suite, nous arrivent les mots de Jèsus qu´expliquent son misión: "Vous saviez que les chefs des nations gouvernent d´une manière despotique. Ce ne peut pas être ainsi parmi vous.Celui qui veut être grand parmi vous, il doit être votre serveur; et celui qui veut être le premier parmi tous, il doit être esclave de tous.Car le Fils de l´homme n´est venu à être traité comme un roi, mais au contraire
à donner sa vie pour tous" (Marcos 10,42-45).Comme le Livre des Faits dit: " Jèsus est passé par la vie, en faisant le bien" ( Faits 10,38).
Nous pouvons dire avec raison que Jèsus fait bien:s´acueillir et se donner. C´est le mouvement savant, qu´il naît de la profonde comprensión de ce que nous sommes; plus encore, seulement il est possible de le vivre quand nous sommes conectés d´une manière conscient à notre identité plus profonde.
Au contact conscient, intime et permanente avec la Source où tout vit ("le Père et moi sommes un"), Jèsus était le cours par où la Vie et l´Amour coulent. Autant que dans le plaisir de l´appelée "printemps galiéenne", où tout semblait le sourire, comme dans la tragédie finale où tout semblait s´effondrer complétement.
Nulle part, nous ne voyons pas en Jèsus ni appropriation ni évitement de tout ce qu´arrive.Parfois, des sentiments pas volontiers peuvent apparaître à la surface (Getsemaní), mais si on reste consciente dans son vraie identité, non seulement il releve ce qu´il arrive, sinon qu´il le vit avec dévouement confiant.
Ni la liberté ni l´amour peuvent être soutenus à coup de voluntarisme.La clé se trouve à reconnaître notre identité la plus profonde et d´y rester attachés.
Du fait, au moment ou nous "nous debranchons" vraiement, il n´y a jamais un débranchement, mais seulement l´inconscience, c´est l´ego qui apparaît et on commence à organizer toute notre existence depuis ses craints.
Seulement quand´on repprend la conscience claire de notre identité, à l´interieur de ce seul "mouvement" de ce qui est Vrai, comme la respiration, on recoit et on se donne, on commenca à nouveau à vivre d´une manière cohérente et heureuse et pleine.
À la celebration de l´Eucharistie, on met à jour l´experience de Jésus et on connecte avec qui on est en profondité. Et delà on fait l´Unité de tout ce qui est.
Il s´agit donc pas autant d´un "rituel religieux" qui cherche sortie encorageux de la Mèsse, mais d ela celebration spirituellede l´Unité qu´on partage avec Jèsus et avec les autres.
Cependant, on peut pas célébrer cet Unité si on reste renfermés dans les frontiers du soi-même, mais quand on pervient à reconnoitre notre identité la plus profonde, celle- que inclue et qui propage le corps, l´intellect et le psiquisme, la conscience illimitée où tout dans ces différences, c´est Un.
À la celebration de l´Eucharistie, la "mémoire" de Jèsus demarre notre propre "souvenir" et favorece notre "rentrée au foyer" partagé, en nous recevant de la Source d´où nous sommes en train de sortir constantemente et à nous librant à Elle dans toutes ses manifestacions.
Enrique Martínez Lozano
Traducción de Pedro Alguacil Cuenca